Annexe 2

Deux preuves claires et édifiantes qui attestent de l'existence de la justice immanente de Dieu et illustrent en même temps son fonctionnement mystérieux

Dans l’analyse supplémentaire que nous avons faite sur l’existence de la justice immanente de Dieu et de son mode d’action surprenant, nous avons trouvé 63.805 cas ou la justice immanente de Dieu est intervenue immédiatement et a agi par des coïncidences apparentes, qui s’avèrent étonnantes et énigmatiques pour les gens communs (voir l’Annexe 1).

1) Une première preuve édifiante

Cette preuve est ancienne et peut être considérée comme extraordinaire. Cette preuve s’appelle l’ordalie. Il s’agissait d’une épreuve judiciaire courante au Moyen-Âge qui consistait à soumettre les personnes en litige à une certaine épreuve manifestement surnaturelle. Le fondement de cette épreuve était l’intervention immédiate de la justice immanente. De cette manière, la culpabilité ou l’innocence d’une personne accusée de quelque chose était prouvée. Il y avait trois types fondamentaux d’épreuves :

a) L’épreuve du feu. L’accusé mettait sa main (jusqu’au coude) dans un feu puissant et si les flammes de ce feu ne le brûlaient pas, n’affectaient pas du tout sa peau et sa main, il était considéré comme innocent. Si alors les flammes de ce feu affectaient et brûlaient la peau de la main ne serait-ce qu’un peu, la personne était déclarée coupable.

b) Une autre ordalie était celle de l’eau bouillante. L’accusé plaçait sa main (jusqu’au coude) dans un récipient d’eau qui bouillait. Si l’eau bouillante, ainsi portée à ébullition, n’affectait pas du tout la peau et la main de cette personne n’était pas du tout brûlée, l’accusé était déclaré non coupable. Si l’eau bouillante affectait et brûlait la peau de la main de cette personne, celle-ci était déclarée coupable.

c) Une autre ordalie était celle du fer roug, une barre de fer qui était chauffée dans un feu intense jusqu’à ce qu’elle devienne rouge à cause de la flamme. L’accusé devait saisir la barre de fer chauffée à main nue et la tenir dans sa main pendant environ une minute. Si la barre de fer chauffée au rouge ne brûlait pas et n’affectait pas la main, n’affectait pas la peau, l’accusé était déclaré innocent. Si la barre de fer rouge brûlait sa peau ou sa main, il était déclaré coupable.

Bien qu’aujourd’hui, alors que de nombreux êtres humains ne croient plus en l’existence de Dieu et se déclarent athées, ces épreuves appelées ordalies semblent incroyables et peuvent être considérées comme impossibles par des êtres humains sceptiques, obtus et athées, au Moyen-Âge les épreuves des ordalies étaient courantes et n’ont jamais conduit à des fautes ou, en d’autres termes, à des erreurs judiciaires. Des centaines de témoignages historiques prouvent que telle ou telle ordalie mise en œuvre a fonctionné avec une étonnante précision.

Les épreuves surnaturelles des ordalies reposaient à chaque fois sur une intervention paranormale rapide, mais essentiellement divine, de la justice immanente de Dieu. L’énergie subtile et sublime de l’Attribut de Dieu de la Justice entrait immédiatement en action à chaque épreuve. Cet Attribut de Dieu apparaît dans les dictionnaires et les encyclopédies sous le nom de justice immanente de Dieu, et l’existence de cette expression (« justice immanente de Dieu ») montre qu’il s’agit en réalité de quelque chose qui existe vraiment.

L’épreuve surnaturelle était connue et toujours appliquée même par les Romains, elle était connue sous le nom latin d’ordālium.

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2) La deuxième preuve est actuellement classique et elle est décrite dans le livre intitulé « Les rois maudits », ouvrage écrit par Maurice Druon. Il y décrit l’intervention finale du Grand Maître du groupe des Chevaliers Du Temple, Jacques de Molay, un personnage célèbre qui a évoqué la justice immanente de Dieu. Ce livre mentionne tout ce qui est arrivé après son évocation qui a attiré faction cachée, inexorable de la justice immanente de Dieu. Voici un extrait sur cet épisode que vous pouvez lire attentivement, car il est éclairant.

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